En résidence: Mel Moya

La semaine dernière, nous accueillions en résidence l’artiste lyrique liégeoise Mel Moya.
“ J’écume, en musique ou a capella les scènes internationales. J’accorde toujours une grande importance aux mots, à la justesse des représentations mentales, qui peuvent être éphémères, mais aussi à cette nécessité de se sentir vivante, vivante dans l’urgence ou dans l’absence. Je fais partie du collectif L-Slam.”
Elle est venue mettre un peu d’ordre sur le papier et plein de désordre dans sa tête. “C’est toujours l’effet que ça fait de trier une infinie de texte, enfui, disparu, jamais questionné.”
Pour Mel Moya, la Maison poème est avant tout un lieu chargé de bonnes énergies, le croisement à un carrefour entre idée et concrétisation.
« Les mots sont multiples et se déclinent sous tous les aspects possibles de l’univers. Il y a beaucoup de ça à la Maison poème. »
Elle est venue mettre un peu d’ordre sur le papier et plein de désordre dans sa tête. “C’est toujours l’effet que ça fait de trier une infinie de texte, enfui, disparu, jamais questionné.”
Pour Mel Moya, la Maison poème est avant tout un lieu chargé de bonnes énergies, le croisement à un carrefour entre idée et concrétisation.
« Les mots sont multiples et se déclinent sous tous les aspects possibles de l’univers. Il y a beaucoup de ça à la Maison poème. »
Son dernier coup de coeur culturel ?
“Le dernier jour de ma résidence, je suis allée voir Udeyfa, un artiste bruxellois. Il y avait un événement organisé par Lezarts Urbains, au Café Central. Malheureusement, je n’ai pas pu rester à cause de mon train de retour. Je reste sur cette découverte artistique, via les médias, ça faisait longtemps que je ne me retrouvais pas dans l’écriture de ce qui peut se faire actuellement, dans la manière de bien raconter les choses, simplement.”